JULIETTE DE CASABLANCA
Arrivée à un certain stade de la finalisation de mon manuscrit, Au creux du souvenir, j’ai senti que j’avais besoin d’un regard neuf, expert et bienveillant pour me faire un retour à la fois général, sur ce qu’un bêta lecteur aurait pensé, et en même temps technique, sur la structure et l’écriture-même du manuscrit. Hélène a su trouver le bon angle, m’a poussée dans mes retranchements avec ses questions aiguisées et son discernement d’experte et j’ai ainsi pu retravailler des pans de texte que j’aurais sûrement ignorés sans son aide. Je recommande vivement ses conseils, surtout si vous vous lancez aussi comme moi dans cette aventure fabuleuse qu’est l’écriture
d’un premier roman…
ALEXANDRA VAN LIERDE
J’ai contacté Edit à l’issue de l'écriture de mon premier manuscrit. Celui-ci formait un tout. Mais même après tous ces mois de travail, de sueur, de retouches, de relectures, de suppressions de passages, de modifications syntaxiques, d'hésitations face à certains choix lexicaux, je le trouvais incomplet, immontrable… J’avais besoin de distance, j’avais besoin de conseils, surtout. Pas ceux d’une amie à qui on montre son livre, mais ceux d’une experte littéraire, capable de me donner un retour professionnel sur cette première écriture. Edit à tout-à-fait rempli ce rôle. Elle m'a permis d’y voir plus clair, de reconnaître les points forts et les parties à retravailler. Elle m'a même motivée, coachée à certains moments ou je n’y croyais plus. Ses propositions, les discussions que nous avons eues sur ce livre au sujet sensible (c’est une autobiographie) m’ont souvent fait rebondir, m’ont même permis de continuer à croire dans ce projet, de le peaufiner, alors que j'étais parfois prête à l’abandonner. Aujourd’hui, mon livre est publié chez L’Harmattan. Je la remercie de son accompagnement qui m'a permis d’aboutir à ce projet!
K. L.
À mesure que la rédaction d’un manuscrit progresse le manque de recul se fait parfois criant, voire angoissant… J’ai fait appel à Hélène à plusieurs reprises pour du diagnostic et du conseil littéraire. À chaque fois elle m’a apporté le regard neuf et indépendant dont j’avais besoin, à travers un travail précis, argumenté, professionnel. Et, surtout, j’ai apprécié la sincérité dont elle a toujours fait preuve et qui a fait d’elle une partenaire de création indispensable.
I. I.
Comment remercier E D I T.
et particulièrement Hélène
de m’avoir permis d’aller jusqu’au bout de mon premier roman?
Ce témoignage permettra peut-être à d'autres de se lancer dans l'aventure de l'écriture avec l'accompagnement sans faille d'E D I T. Du début au point final, E D I T., toujours, m’a soutenue.
De la structure même de mon projet jusqu’à la dernière petite coquille en passant par des questionnements pertinents sur les prénoms, l’incohérence de certains faits, chacun des retours critiques m’a permis, par leur objectivité, et leur ton toujours constructif de corriger, améliorer, rendre « publiable » à mes yeux, ce premier roman, me donnant ainsi
la confiance nécessaire
pour lui donner une vie publique.
Merci E D I T., merci Hélène… je ne manquerai pas de vous solliciter à nouveau… pour un deuxième roman,
qui sait?
FRANKY BRU
L’écriture d’un roman, au-delà de l’expérience très personnelle qu’elle suscite pour son auteur, impose le respect d’un minimum de règles qui transforment un simple manuscrit en une œuvre plus aboutie. C’est là que le conseil littéraire de Hélène m’a permis de qualifier mon travail par un diagnostic pertinent,
précis et riche de conseils.
Particulièrement détaillé, ce diagnostic littéraire faire preuve de bienveillance, il encourage, met l’accent sur les axes d’amélioration.
Une vraie satisfaction.
JEAN DE LYON
J’ai entamé l’écriture d’un récit autobiographique, il y a plusieurs années.
A l’heure du point final, une amie m’a conseillé de me rapprocher de Edit-Conseil.
Les expertises au laser d’Hélène Bottin, seront en retour, une révélation. Elles sont redoutables de justesse à tous les niveaux (relation à un lecteur final, analytique) et elles pointent exactement là où il y a matière à travailler.
Ce qu’il me fallait, pour passer d’une succession d’anecdotes sans liens, à un roman autobiographique.
Incontournable, si l’on ambitionne d’être édité.